26 févr. 2016

made in germany #47

Oh Boy!

Un film de Jan Ole Gerster, 2012.

Niko (Tom Schilling), un jeune Berlinois, vit au jour le jour depuis qu'il a arrêté ses études de droit deux ans auparavant. Cette nouvelle journée va s'avérer mouvementée !
Son père (Ulrich Noethen) lui coupe les vivres : il a appris que Niko avait arrêté ses études. Il passe alors la journée avec son ami Maltze (Marc Hosemann), un acteur raté. Il réconforte son voisin solitaire et désespéré. Et rencontre une ancienne camarade de classe, Julika (Friederike Kepter)... qui est un peu barrée !

Niko Fisher (Tom Schilling) est un jeune homme un peu paumé, fêtard... et qui n'a pas un esprit de décision très développé. Il s'est fait retirer son permis et doit passer un entretien avec un psy pour le récupérer... mais est même trop nonchalant pour convaincre le psy.

C'est une mauvaise journée : il n'arrivera pas à prendre un café...

Son pote Maltze (Marc Hosemann) passe le prendre et l'emmène dans ses recherches de boulot. Il est acteur, mais n'a pas encore décroché le rêve de sa vie.

Le père (Ulrich Noethen) de Niko est avocat. Il voulait que son fils suive sa voie... Apprendre par hasard que son fils ne va plus en cours depuis deux ans est une grosse déception... et il ne lésine pas sur les dramatiques pour le dire^^

Au cours de cette journée pas comme les autres, Niko retrouve une ancienne camarade de classe : Julika Hoffmann (Friederike Kempter). À l'époque, elle était grosse et Niko n'a pas toujours été sympa avec elle. Julika était amoureuse de lui... maintenant qu'elle a perdu du poids, elle espère un peu se rattraper. En tous cas, elle a davantage confiance en elle qu'à l'époque du lycée.

Une journée à Berlin. C'est fou tout ce qu'il peut se passer en 24h... et comment les événements peuvent se tourner contre vous.

Des petites sans conséquences mais mises bout à bout... Niko doit être bien content d'avoir fini sa journée après tout ça^^ Quand la chance tient à un café...^^

Le film est en noir et blanc, tout simple. Le côté comédie n'est pas exagéré. On ressent mieux l'état d'esprit des personnages : la contemplation de Niko, les aspirations de Maltze, la revanche de Julika.



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